Vous vous demandez pourquoi vous ne pouvez pas être heureux ? Ces conseils vous aideront.

Vous vous demandez pourquoi vous ne pouvez pas être heureux ? Ces conseils vous aideront. Le bonheur : Vous le savez quand vous le ressentez, et vous le savez définitivement quand vous ne le ressentez pas. Si peu d’entre nous se promènent en souriant dans un état de bonheur constant, les sentiments fréquents de tristesse sont une raison de s’arrêter et de faire le point sur les raisons de cette situation.

Le contraire du bonheur n’est pas toujours le malheur non plus ; si vous ne prenez plus plaisir aux choses qui vous procuraient autrefois de la joie, c’est un autre signe important que quelque chose ne va pas.

Selon Acacia Parks, scientifique en chef chez Happify, un site qui propose des « solutions de santé émotionnelle » élaborées avec l’aide d’experts en la matière, « la recherche suggère que le bonheur est une combinaison de la satisfaction que vous éprouvez dans votre vie (par exemple, trouver un sens à votre travail) et de la façon dont vous vous sentez bien au quotidien ».

Tout d’abord, faites la différence entre « le blues » et la dépression.

Nous avons tous eu des jours « sans », mais une longue période de malheur peut signifier qu’il est temps de consulter un professionnel.

« Le malheur peut être un guide et un ami, qui nous aide à mieux nous connaître et à prendre conscience de ce qui nous fait nous sentir vivants et passionnés par notre vie », explique Laura Petiford, thérapeute conjugale et familiale agréée, basée dans le Connecticut. Mais si vous ressentez ce que l’Anxiety and Depression Association of America (ADAA) identifie comme des symptômes de dépression pendant au moins deux semaines, la plupart du temps et la plupart des jours, Mme Petiford affirme qu’il peut s’agir de quelque chose de plus grave.

En attendant, « ‘le blues’ est une autre expérience normale de la vie, et peut accompagner un souvenir, une transition ou une autre perte », selon Petiford. Quoi qu’il en soit, essayer une thérapie – même s’il s’agit d’une plateforme en ligne.

Ensuite, arrêtez de comparer votre vie à celle des autres pour être être heureux

Comme l’a dit un jour la coach de vie et animatrice de Fix My Life, Iyanla, « Se comparer aux autres est un acte de violence contre votre moi authentique ». Il est difficile d’apprécier ce que vous avez lorsque votre esprit est encombré de pensées du type « pourquoi n’ai-je pas ce que cette personne a ? ». Cela dit, cette impulsion est parfaitement naturelle, même si elle est souvent malsaine.

« Nous sommes des créatures sociales, profondément marquées par la présence et l’influence des gens qui nous entourent », explique le Dr Susan Biali Haas, coach de vie. « Il est fondamentalement humain d’observer de près ce que font les autres et de le comparer à soi-même. »

Pratiquez la gratitude (et continuez à la pratiquer).

Les résultats des recherches en psychologie positive n’ont cessé de vanter les avantages de la gratitude, mais au milieu des déceptions bien réelles de la vie, il peut être difficile de rester reconnaissant. Considérez la gratitude comme un muscle que vous devez travailler pour l’entretenir.

« Que vous teniez un journal de gratitude ou que vous fassiez une prière de remerciement à l’heure du coucher, cet effort vous aidera à rester centré sur toutes les bontés qui remplissent votre vie », dit Haas.

S’affranchir de la pensée « Je serai heureux quand… »
« Je pense que le mythe le plus courant sur le bonheur est l’idée que « je serai heureux quand » », déclare Sonja Lyubomirsky, professeur de psychologie et auteur de The Myths of Happiness : What Should Make You Happy, but Doesn’t, What Shouldn’t Make You Happy, but Does. « Donc, je ne suis pas heureux maintenant, mais je le serai quand j’aurai un bébé, ou quand je me marierai enfin, ou quand je déménagerai en Californie, ou quand j’obtiendrai la promotion et l’augmentation que j’ai toujours voulues, ou quand j’emménagerai dans une vraie maison, ou quand je perdrai 20 livres. »

Atteindre ces objectifs apportera du bonheur, explique Lyubomirsky, mais les gens s’attendent souvent à ce que ce sentiment dure toujours alors qu’il est généralement éphémère : « Les recherches montrent que la plupart des gens finissent par revenir à leur niveau de bonheur antérieur. »

« Les gens ont tendance à accorder trop d’importance à la façon dont les événements majeurs de la vie vont changer leur bonheur global », confirme Zelenski. Donc si votre vie post-mariage n’est pas le paradis que vous aviez imaginé, c’est tout à fait normal.